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Décryptage: 2023, l'année de la crise?

Guillaume Tournier • 6 janvier 2023
Good Finance vous souhaite une bonne et heureuse année 2023 et vous propose, pour bien commencer l'année, un décryptage de l'économie.
 
2022 a été marquée par un fragile retour à la normal sanitaire dans les pays occidentaux et un maintien des mesures restrictives en Chine. La forte reprise économique post covid de 2021, conjuguée à un afflux de liquidités en provenance des banques centrales et des politiques budgétaires des états ont été la base de l’inflation que nous subissons aujourd’hui. La Guerre en Ukraine et les restrictions mises en place en conséquence n’ont fait qu’exacerber ce phénomène. Ainsi pour éviter que le système économique ne s’emballe les banquiers centraux ont en 2022 décidés d’augmenter les taux (FED : +3,75 points de pourcentage et BCE : + 2,5). L’objectif étant de ralentir volontairement l’économie (donc l’inflation) pour éviter que la spirale inflationniste n’entraine une crise économique majeure. Mais l’atterrissage en douceur n’est pas garanti. Il n’y a pas de science exacte en économie. Cela fait plus de 40 ans que nous n’avons plus étés confrontés à l’inflation. Par le passé les pics inflationnistes ont abouti à un ralentissement de l’économie plus ou moins violent et un niveau de chômage élevé. Après quoi, soit l’inflation baisse significativement et l’économie repart, soit elle persiste et l’économie rentre en stagflation (France année 70 – 80). 

Alors que nous réserve 2023 et quel impact cette situation aura sur votre épargne ?

Certainement un ralentissement de l’économie, probablement une récession, peut être une crise. Le ralentissement est déjà acté par la majorité des économies mondiales. On attend les perspectives et les résultats des entreprises pour le premier trimestre 2023 pour savoir si nous parlons de récession. Il y a récession si la croissance baisse deux trimestres de suite. Le chômage devrait augmenter. Si de nouvelles tensions géopolitiques ou sanitaires font leur apparition, la récession pourrait se transformer en crise économique majeure. En ce début d’année c’est la Chine qui inquiète l’OMS. En effet en ayant réalisé un dé-confinement total, sans mesure préventive, il y a un risque de relance de l’épidémie au niveau mondial. L’organisme estime à 37 millions le nombre de nouveaux cas journaliers en Chine. Enfin la réouverture soudaine de la 2nd économie mondiale peut relancer les tensions inflationnistes…

Il y a également des signaux positifs. Le pic d’inflation aux USA et en Europe semble avoir été atteint. Ainsi même si des hausses de taux des banques centrales sont toujours à prévoir, elles devraient être plus modérées qu’en 2022. Si la récession se confirme au cours des deux prochains trimestres il est possible que les USA inversent la tendance pour soutenir l’économie avec une baisse de taux; notamment soutenir le secteur de la technologie, très dépendante de sa capacité à se financer. 

Le marché action : Entre l’inflation qui impacte l’approvisionnement et les couts des entreprises et l’augmentation des taux qui compliquent le financement, nous recommandons comme en 2022, de rester à l’écart des marchés actions en ce début d’année. 

Le Marché Obligataire : les obligations à court terme s’envolent avec l’augmentation des taux. Les anciennes obligations quant à elles s’effondrent. Le taux de défaillance des entreprises pourrait augmenter en 2023 (1% aujourd’hui). Attention à bien choisir vos projets. 

Or noir et Energies : depuis cet été les prix de l’énergie baissent en perspective d’un ralentissement de l’activité. Si la récession est contenue en 2023, le cours du pétrole pourrait augmenter pour faire face à la demande Chinoise et une reprise de l’économie mondiale. Le gaz lui emboitera le pas. A suivre.

Or : Les obligations offrent un rendement intéressant en ce moment, au détriment de l’or qui n’offre pas de coupon. Mais c'est un bon placement en cas de ralentissement de l'inflation, d'assouplissement de politique monétaire et d'incertitude économique. On peut intégrer comme diversification à son patrimoine. A suivre.

Immobilier : En 2022 les maisons anciennes ont pris 8.2%, les appartements 4%. L’augmentation des taux cumulée au ralentissement de l’économie n’est pas de bon présage pour 2023. Certains experts tablent sur une stabilisation du marché sans baisse de prix conséquentes, d’autres sur des baisses pouvant aller jusqu’à 10%. Attention aux grandes villes qui ont été fortement valorisées ces dernières années et qui seront probablement les plus impactés. 

Crypto : On attend la fin de la hausse des taux pour y retourner, toujours avec le cœur bien accroché. 



Notre avis :
Parmi les trois scénarios qui se dessinent : ralentissement, récession, crise ; c’est celui de la récession qui semble le plus probable. Une reprise de l’inflation pourrait aggraver la situation. Il faut également surveiller les rapports de l’occident avec la Russie et la Chine (Ukraine et Taiwan). Enfin la reprise économique de la Chine est un élément à double tranchant entre stimulation de la croissance et le risque de relance de la pandémie et de l’inflation.  
Pour le moment les marchés actions  semblent encore fragiles. Les résultats des entreprises pour le 4eme trimestre 2022 et les perspective pour 2023 vont être déterminantes. Il vaudrait mieux attendre la normalisation de la situation économique pour réinvestir. En revanche les obligations offrent des opportunités. Le marché immobilier peut être envisagé en mettant l’accent sur la diversification et la rentabilité du projet. 


par Guillaume Tournier 17 novembre 2023
C’est souvent en fin d’année que l’on prend des décisions pour réduire le montant de ses impôts calculés sur le revenu 2023 et acquittés en 2024. Un bon moyen de faire des économies en développant son patrimoine . Je vous propose une vue d’ensemble des dispositifs fiscaux pouvant diminuer votre imposition si ils sont mis en place avant le 31 décembre. Les solutions pour obtenir des réductions et des crédits d’impôts (Soumis au barème des niches fiscales) Investissement dans les PME Vous bénéficiez de 25% de crédit d’impôts sur votre investissement. De nombreuses solutions existent pour en profiter (SA, FIP, FCPI, FCPR). Vous devez détenir vos titres minimum 5ans avant de pouvoir les revendre. Montant minimum : 100 € Loi Girardin, ou l’investissement dans les DROM-COM Vous investissez dans du matériel de production pour soutenir le développement économique des DROM-COM. Cet investissement se transforme en un crédit d’impôts majoré de 10% dans les conditions d’investissement les plus sécurisés. Le remboursement se fait généralement en août. Vous pouvez recommencer chaque année. Montant Minimum : 4 000 € Vignes et forêts En achetant des parts de groupements forestiers ou de groupements fonciers viticoles vous bénéficiez d’une réduction d’impôt sur le revenu équivalente à 25% de votre investissement. Les parts peuvent être exonérées d’IFI et les droits de succession s’appliquent à hauteur de 25% de la valorisation ( exonération sur 75% ). Vous pouvez également accéder à ces placements sous la forme de société anonyme et bénéficier de 25% de crédits d’impôt . La rentabilité moyenne annuelle est de 2.5% et le crédit d’impôt est assorti d’une obligation de conservation des parts comprise entre 5 et 7 ans. Montant Minimum : 1 000 € SOFICA Les sociétés de financement de l’industrie cinématographique et audiovisuelle offrent jusqu’à 48% de réduction d’impôt . Vous participez aux besoins de financements des producteurs. Montant minimum : 1 000 € PINEL En investissant dans un programme éligible à la loi PINERL et en respectant les durées d’engagement de location de 6, 9 ou 12 ans vous pouvez réduire vos impôts sur le revenu de 10.5%, 15% ou 17,5% en 2023 dans la limite de 52 500 € . Vous devez accepter l’encadrement de vos loyers. Décembre 2024 marquera la fin de ce dispositif. Montant minimum : 10 000 € par le biais d’une SCPI Les solutions pour réduire vos revenus avant l'imposition Le plan d’épargne retraite individuel Placement à long terme, le PER permet de constituer une rente ou un capital pour la retraite. Les versements sont déductibles du revenu imposable. Pour les travailleurs non-salariés, c’est 10% des revenus professionnels 2023 qui sont déductibles, dans la limite de huit Pass majorés de 15%. Pour les salariés, c’est 10% du revenu 2022 qui est à retenir pour déterminer le versement déductible maximum. Les plafonds non consommés sont reportables sur trois années, de même il est possible d’utiliser le plafond non consommé de votre conjoint. Les fonds peuvent être investis sur de nombreux supports, comme dans une assurance vie. Sauf quelques exceptions, le déblocage de vos avoirs se fera à votre retraite. En cas de décès les capitaux seront transmis au bénéficiaire que vous aurez désigné. Montant minimum : 500€ Le Déficit Foncier Vous investissez dans un bien immobilier à rénover. Vous engagez des travaux d’amélioration et de réparation. Le bien devra par la suite être loué nu. Vos travaux deviendront des charges imputables sur vos revenus fonciers des 10 prochaines années . L’année de réalisation des travaux vous pouvez déduire 10 700 € de votre revenu global. Montant minimum : 10 000 € en SCPI (partiellement finançable par crédit) Les Monuments Historiques En investissant dans un bien immobilier à rénover, classé monument historique, vous pouvez déduire de votre revenu global quasiment l’intégralité de vos travaux . Un bon moyen pour gommer l’imposition de revenus exceptionnels en se constituant un patrimoine d’exception. Montant minimum : 10 000 € en SCPI, dont 60 à 80 % de charges. Good Finance est à votre disposition pour mettre en place chacune de ces solutions. Tout investissement comporte des risques, une étude préalable est nécessaire pour déterminer les solutions en adéquations à votre projet.
par Guillaume Tournier 30 juin 2023
Alors que la pause de la FED dans la hausse des taux au mois de juin a donné un regain d’énergie aux valeurs les plus risquées, les perspectives pour le 2nd semestres restent troubles. Plusieurs raison à cela : les banquiers centraux ont toujours un discours agressif quant aux futures augmentations de taux. L’inflation est toujours loin des objectifs fixés. L’augmentation des taux complique le financement des entreprises. Elle complique également le financement du marché immobilier, que ce soit pour les promoteurs comme pour les acquéreurs. La croissance de ces derniers mois est portée par les entreprises technologiques, notamment avec l’essor de l’IA mais également par le secteur du luxe, du service et de l’alimentation. Mais pourront-elles continuer à augmenter leur prix avec des consommateurs de plus en plus malmenés (écart inflation- augmentation des salaires) et financer leur croissance avec des banque réticentes à prendre des risques et des taux qui augmentent ? La majorité des économistes s’accordent sur un atterrissage en douceur de l’économie pour cette fin d’année avec une faible récession dans certain pays de la zone euro, Allemagne en tête . Les actions : Apres une année 2022 compliquée avec un S&P ayant perdu 20%, les acteurs économiques ont été surpris de la résilience du marché. La reprise ce début d’année ayant effacé plus de la moitié des pertes. Techniquement le marché actions (S&P et DAX) reste haussier même si la tendance semble être au ralentissement. Il va falloir surveiller de près la réaction de l’économie suite aux prochaines annonces de hausses de taux. Les obligations : Avec la hausse des taux les obligations d’entreprises et d’états proposent des taux de plus en plus intéressants. Aujourd’hui le marché obligataire distribue des coupons supérieurs aux dividendes des actions. Le risque paye moins que le sécuritaire, c’est une anomalie de marché. Pourquoi investir dans des actions de la tech proposant moins de 1% de dividendes (alors que leur financement se tarie) quand des obligations d’état vous proposent 5% d’intérêts ? Nous maintenons notre avis positif. Favoriser la détention d’obligations jusqu’à leur terme et diversifier votre investissement. Intéressez-vous aux fonds structurés avec capital garanti et une rentabilité de 4/5% et aux fonds datés pour investir dans des paniers obligataires diversifié. L’or : Le marché de l’or prend 5% depuis le début année. Il est soutenu par les craintes qui pèsent sur l’économie. Malgré les augmentations de taux et la performance des actifs risqués en ce début d’année l’or reste une valeur refuge. Nous maintenons notre avis positif sur l’or pour diversifier vos portefeuilles. Il est soutenu par un mouvement de dépolarisation des pays émergents et le besoin des banquiers centraux de solidifier leur bilan et ce malgré la hausse des taux. L’immobilier : Avec une augmentation des prix de l’ordre de 30% ces 10 dernières années, les loyers eux n’ont augmenté que de 4% sur cette même période, avec des écarts importants d’une ville à l’autre (Lyon : PV 10 ans 56%, augmentation du loyer 8,5%). La rentabilité des biens à fortement chuté, mais avec un besoin de plus de 500 000 logements neufs par an alors que moins de 400 000 sont réalisés, la demande reste soutenue et l’augmentation des prix à largement compensé la rentabilité générale des projets. Mais l’augmentation des taux met un sérieux coup de frein à ce marché en 2023 avec une baisse de 15% des transactions et une prévision de baisse des prix de 5% sur l’année (fnaim). Aujourd’hui un acheteur peut emprunter 25% de moins qu’en 2021. Et ce phénomène va surement s’accentuer d’ici la fin d’année. Certains experts parlent d’une baisse potentielle de 20% du marché immobilier d’ici fin 2024. L’immobilier de bureau n’est pas mis à l’écart de ce constat même si il restera résilient tant que l’économie se porte bien. Good Finance maintient sa recommandation sur l’immobilier, l’investissement reste possible pour des projets de vie à long terme. Pour de l’investissement, accorder une importance toute particulière sur la rentabilité de votre projet, de préférence dans des villes de province dynamiques. Concernant la pierre papier (SCPI, SCI, OPCI) il est temps de faire le tri dans votre portefeuille. Certains projets à long terme méritent d’être maintenus mais des arbitrages peuvent être à prévoir. Good Finance est à votre disposition pour vous conseiller.
par Guillaume Tournier 22 juin 2023
10%, 15%, 20% de rentabilité net en investissement dans les DROM COM, possible ?? Le Girardin fait beaucoup parler. Revenons sur un monument de la défiscalisation à la française. Nous allons essayer en quelques lignes d'expliquer simplement le fonctionnement du Girardin, plus exactement de la loi Girardin industrielle, favorisant les investissements dans les territoires d’outre-mer depuis 2003. Cet investissement permet des gains défiscalisés supérieurs à 10% sur une année avec des tickets d’entrée compris entre 2 000 euros et 52 900 euros. La loi Girardin industriel est un dispositif fiscal ayant pour objectif premier de favoriser la relance de l’investissement privé et compenser les surcoûts dus à l’éloignement géographique des territoires d'outre-mer. Ce dispositif de défiscalisation cherche ainsi : • à renforcer la continuité territoriale en rétablissant une forme d’égalité économique avec la métropole ; • à encourager la création d’emplois. C’est un bon moyen de donner du sens à votre investissement. Les personnes physiques qui investissent, en outre-mer, directement, dans du matériel industriel mis en location auprès d’une entreprise en outre-mer bénéficient d’une réduction d'impôt. Le taux varie en fonction de la nature de l'investissement et de la date de sa réalisation. L'avantage fiscal est acquis en une seule fois dès l'année suivant l'investissement, à condition que le matériel financé soit exploité pendant 5 ans. La réduction d’impôt est soumise à des plafonnements spécifiques qui interviennent préalablement au plafonnement global des niches fiscales. Ceci étant dit, en pratique ça marche comment? Prenons un exemple : Vous investissez 100 dans une société (SNC) avec d’autres investisseurs. Cette société a pour but d’acheter du matériel de production (véhicule, machine-outil, immobilier) en sollicitant un crédit bancaire 400. Elle loue, généralement sous forme de crédit-bail, le matériel acquis 500 (100 + 400) à une société locale pour une période de 5 ans. L’état rembourse une partie de l’investissement à votre société (jusqu’à 70% des 500) en échange de quoi la société qui vous loue le matériel récupère une partie ce cet avantage. Au terme des 5 ans l’entreprise locale récupère son outil de production pour un faible montant voir gratuitement. Le crédit de la SNC est remboursé. Fin de l’opération. Dissolution de la société. Dès la première année vous récupérez la partie du crédit d’impôt correspondant à votre investissement (crédit d’impôt calculer sur la valeur de l’outil, donc 500 et non votre investissement de 100). Votre crédit d’impots est supérieur à 100% de votre investissement, ici 115. Donc ce n’est pas votre investissement que vous récupérez, il se fait généralement à perte, mais bien un crédit d’impots supérieur à votre investissement avec dans notre exemple un gain de 15%. Mais il y a un risque. Si l’entreprise qui loue à votre société du matériel ne va pas au bout des 5 années d’exploitation et le cas échéant, que votre société ne trouve pas un autre repreneur local en remplacement, il est fort probable que l’état remette en cause le montage et donc votre gain fiscal. Les fournisseurs de Girardin les plus sérieux vous proposeront d’investir dans des solutions clefs en main. Plusieurs projets composent l’investissement et ils couvrent l’ensemble des risques, y compris ceux inhérent à une requalification de l’opération, par le biais d’assurances. En contrepartie votre retour sur investissement s’en trouve réduit par des cotisations d’assurance et des frais de gestion plus importants. Les produits les plus sécurisés proposent une rentabilité annuelle de 10% (net de frais et d’imposition). Une signature électronique suffit pour investir et valider les AG (Après étude de votre projet avec un conseiller). Vous renouvelez l’opération chaque année (fond de roulement), sachant que votre épargne est allouée à l’économie réelle dans nos territoires d’outre-mer.
par Guillaume Tournier 14 janvier 2023
Alors que l’inflation s’élève à 7,5% en France sur 2022 et que les marchés actions ont baissés de 8%, le livret A, placement préféré des français, proposait 2% de rentabilité. Good Finance vous propose des solutions pour vous aider à développer votre patrimoine : (Le risque est noté de 1 à 7 ; 7 étant le plus risqué) 1. Fonds structurés avec garantie du capital à l’échéance. Risque 1 Avec une rentabilité autour de 4% c’est l’investissement phare du dernier trimestre 2022. Un niveau de collecte pas vu depuis 10 ans à été atteint sur cet. Essentiellement composé d’obligations et d’options, ces produits garantissent à un terme pré défini de rembourser le capital investi. Durant la durée de l’investissement vous touchez des coupons correspondant à la rentabilité. Ces fonds peuvent s’incorporer dans un contrat d’assurance vie ou dans un PER. 2. Immobilier : SCPI & SCI. Risque 2 à 4 Avec une rentabilité 2022 comprise entre 3 et 6% cette catégorie d’actifs n’a rien à envier aux placements dynamiques. Par le biais de société civil vous investissez dans un parc immobilier diversifié. Il est possible de toucher des loyers ou de capitaliser vos revenus. De même ce placement peut intégrer un contrat d’assurance vie ou un PER. 3. Obligations. Risque 3 à 7 Pour les investisseurs les plus aguerri, il est possible de s’impliquer directement dans un projet en accordant un prêt à une entreprise. Sur des projets de courte durée une rentabilité 10% peut être atteinte. Sinon, tournez vous vers des fonds datés. 4. Fonds RSI article 9. Risque 5 à 7 Donner du sens à son épargne est devenu une priorité. C’est pourquoi je vous propose des fonds Article 9 (fonds évalués chaque année, traçant leurs impacts sur l’environnement). Vous accéder aux actions et aux obligations des entreprises les plus vertueuses en matière environnementale. Celles qui feront l’économie de demain. 5. Les Bois et Forêts, Le vin, les exploitations agricoles. Risque 2 à 4 Alors que les crédits d’impôts pour cette catégorie d’actifs est pérennisée en 2023 et sur trois ans (25% et 75% en fonction de la forme d’investissement) se secteur à de beaux jours devant lui. Décoléré des marchés financiers et immobiliers c’est un bon moyen de diversifier son patrimoine en respectant la planète. Prendre contact pour plus d’information. En fonction de vos connaissances, de votre situation et votre acception du risque GOOD FINANCE vous fait une proposition d’investissement adapté à vos besoins.
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